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EVOLUTION DU PERMIS MOTO

Depuis le 1^er mars 2020, le permis moto a évolué, toujours dans un objectif de réduction de l’accidentalité.

Voici le détail des changements.

La réforme du permis moto a pour objectif principal d’améliorer la qualité de la formation et de l’examen des futurs motards. Pour ce faire, des épreuves théoriques dédiées à la moto voient le jour et l’épreuve de circulation est renforcée. 

1- Épreuve théorique moto (ETM)

La mise en place d’un code spécifique l’ETM obligatoire, propose 600 questions regroupées dans 8 thèmes spécifiques et plus pratique :

1. Le conducteur (120 questions)

2. La route (120 questions)

3. Les dispositions légales de la circulation routière (90 questions)

4. Les autres usagers de la route (60 questions)

5. Les éléments mécaniques de sécurité (60 questions)

6. La réglementation générale et diverse (60 questions)

7. Les règles d’utilisation du véhicule pour le respect de l’environnement (30 questions)

Afin d’obtenir ce code, les candidats doivent avoir un score minimal de 35 bonnes réponses sur les 40 posées. Le code est alors valide 5 ans dans la limite de 5 passages par catégorie.

2 - Épreuve pratique (le plateau)

L’épreuve plateau devient entièrement pratique : exit les fiches et les questions mécaniques qui sont directement rattachées à l’épreuve théorique.

Désormais, les candidats doivent effectuer le parcours d’une seule traite. La durée de cette épreuve est raccourcie passant de 15 minutes en moyenne à un peu moins de 10 minutes par candidat.

Les thèmes abordés restent inchangés :

1. Le déplacement de la moto sans l’aide du moteur

2. L’allure réduite sans passager

3. Le freinage

4. L’allure réduite avec passager

5. L’évitement

Pour le permis sur machines automatiques, la prise en compte du gabarit de l’engin pour l’évitement, avec décalage du dernier cône intérieur du couloir d’évitement, est désormais active.

Concernant la notation, il est possible de poser le pied au sol en dehors des zones neutralisées lors de l’épreuve à 3 reprises (anciennement 2) ; la chute reste elle éliminatoire.

 3 - Épreuve pratique (la circulation)

L’épreuve de la circulation est modifiée, passant de 25 minutes à 40 minutes environ. Les vérifications de sécurité se font lors de cette épreuve (et non plus lors de l’épreuve du plateau).

L’objectif des changements est de proposer aux candidats une épreuve plus réaliste et plus proche de ce qu’est la conduite moto.

Un des changements majeurs de cette épreuve est l’introduction à la trajectoire de sécurité. Lors de l’épreuve, le candidat sera alors jugé sur sa capacité à négocier une trajectoire en toute sécurité : adopter le meilleur positionnement sur la voie, adapter sa vitesse à l’extérieur de la courbe mais aussi porter son regard pour anticiper et se rabattre progressivement.

La notation change également, d’un minimum de 17 à 21 points sur 27 points totaux.

Date de mise en place

Cette réforme est effective à partir du 1^er mars 2020. Cela-dit, il n’y a pas d’épreuve les 15 jours suivants afin de laisser aux examinateurs le temps de se former et de s’adapter en termes de logistique.

Une période de transition est mise en place du 1^er mars 2020 au 31 août 2020. Durant cette période, un candidat déjà en demande du permis A1 ou A2 (avant le 1^er mars 2020) et titulaire du code voiture (ETG), peut passer le permis moto sans avoir besoin de repasser l’ETM. De plus, les candidats qui ont obtenu l’épreuve plateau avant le 1^er mars en conservent la validité et peuvent présenter l’épreuve circulation jusqu’au 31 août 2020 maximum.

En 2019 selon une étude sur 1005 français la voiture reste le moyen de transport privilégié pour les trajets domicile-travail, mais elle est en net recul vis-à-vis des années précédentes. 

La voiture toujours très utilisée

Effectivement, pour près 1s/4 actif (72 %), la voiture est utilisée pour se rendre au travail. C’est -4 points que 2018 (76 %) et -9 points à 2017 (81 %).

                        →   75 % voiture thermique            

  72% répartis     →   22 % voiture électrique ou hybride

             →     3 % voiture aux 2 motorisations

Mais en recul d’années en années

L’utilisation de la voiture a tendance à baisser car de nouvelles préoccupations rentrent en compte (telle que l’environnement). De fait de nouvelle préoccupation, les solutions de mobilités dites “douces“ augmentent :

• Marche à pied (30,8 %)
• Transports en commun (24,1 %)
• Vélo (14,2 %)
• Trottinette (2,2 %)
• Autre (2,2 %)

L’impact des déplacements sur le bien-être au travail

La moyenne de la durée des déplacements professionnels est d’au moins 10 heures par semaine pour 9 sur 10 des actifs interrogés. Le trajet moyen est lui de 23 minutes pour une distance moyenne de 18 km.

Ces chiffres évoluent bien-sûr en fonction de la localisation des personnes interrogées. Effectivement, en région parisienne par exemple, la durée moyenne d’un déplacement professionnel est de 30 minutes pour 38,6 %.

Pour plus de la moitié des actifs sondés, la mobilité liée à leurs déplacements pour le travail à un impact (positif ou négatif) sur leur bien-être au travail :

• 14 % déclarent qu’elle a un impact négatif, tel que la perte de temps (64 %), ou encore un stress lié à une fréquentation accrue (56 %).
• À contrario, 38 % estiment qu’elle a un impact positif, leur permettant de profiter d’un moment de calme et de confort.

Mais dans tous les cas le CABINET EBRARD est là pour vous apporter une solution d’assurance pour tous vos types de moyens de déplacement.  

Prépare ton retour de réveillon ! Prévoir une solution de retour !

Les fêtes de fin d’année approchent, voici quelques conseils pour rentrer en toute sécurité.

Pas d’alcool si on prend le volant

L’alcool au volant et la conduite sous stupéfiants sont la 2^e cause de mortalité routière, après la vitesse.

L’alcool modifie notre comportement et nos capacités. Pour rappel, la limite autorisée pour les jeunes conducteurs est de 0,2 g/l de sang, soit 0 verre.

Donc pensez à trinquer avec des boissons ou cocktails sans alcool, il en existe pour tous les goûts et faites deviner les ingrédients utilisés. Un petit jeu sympa pour bien commencer la soirée !

Attention à la fatigue au volant

Même sans consommer d’alcool, on n’est pas à l’abri d’un petit coup de fatigue, surtout si on prévoit de rentrer tard.

Sur le chemin du retour, il ne faut pas hésiter à s’arrêter si la fatigue arrive.

La somnolence au volant ne prévient pas !

Les solutions pour rentrer chez soi en sécurité

• Si on passe la soirée chez des amis, on demande si on peut dormir sur place
• Si tu tiens à rentrer, pense à désigner un Sam, on peut aussi louer un Sam avec des applications (ex : YesDriveMe ou Hello Sam . On peut aussi opter pour un VTC ou un taxi.
• Dans les grandes villes, une solution simple existe : les transports en commun.
• Et si un ami souhaite conduire alors qu’il a bu, on l’empêche de prendre le volant. On insiste pour qu’il dorme sur place, on propose de le faire raccompagner par quelqu’un qui n’a pas bu ou on réserve un taxi à sa place.

Avant de prendre le volant, en cas de doute sur ton alcoolémie, n’hésite pas à souffler dans un éthylotest.

Bon réveillon !

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Donc pensez à trinquer avec des boissons ou cocktails sans alcool, il en existe pour tous les goûts et faites deviner les ingrédients utilisés. Un petit jeu sympa pour bien commencer la soirée !

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• Si tu tiens à rentrer, pense à désigner un Sam, on peut aussi louer un Sam avec des applications (ex : YesDriveMe ou Hello Sam . On peut aussi opter pour un VTC ou un taxi.
• Dans les grandes villes, une solution simple existe : les transports en commun.
• Et si un ami souhaite conduire alors qu’il a bu, on l’empêche de prendre le volant. On insiste pour qu’il dorme sur place, on propose de le faire raccompagner par quelqu’un qui n’a pas bu ou on réserve un taxi à sa place.

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